samedi 27 avril 2019

Le Mur du Monde, un média qui doit nous aider à retrouver nos vraies valeurs humaines.








Les valeurs fondamentales sont :
Ces valeurs humaines sont notamment le respect, l'acceptation, la considération, l'appréciation, l'accueil, l'ouverture, l'entraide, la réciprocité, la solidarité, l'écoute, la bienveillance, l'empathie, la fraternité, l'affection et l'amour envers d'autres êtres humains.

Le Mur du Monde, un mur rassembleur des hommes et des femmes de tous horizons,de toutes religions, mais avec les mêmes valeurs humaines.



samedi 13 avril 2019

Mon seul but l'environnement




Il est évident que plusieurs ont des questions au sujet des projets qui englobent le Mur du monde.  J'ai répondu dans différents écrits, articles et conversations le but de ce projet.  Cela a été répondu de 1000 et une façons.

Apprendre à communiquer est primordial.  Comment voulez vous préserver la vie sur terre si personne ne communique de la même façon.

Comprendre ses moyens de transport est important également ainsi que l'assiduité.

Je fais du bénévolat depuis le début de mon existence.  Très peu le remarque.

Pour ce qui a trait au différentes alliances que j'ai pu laisser passer en coulisse cela va rester en coulisse un moment.  Par contre les choses vont bon train

Les gens qui veulent le secret de la richesse, vous n'avez qu'à prendre rendez vous.  C'est totalement gratuit mais dites-vous bien qu'il est primordial d'investir en permaculture et l'environnement dans la mesure que vous le déciderez et selon les profits que vous allez générer.

L'heure n'est plus au questionnement mais bien à quel action vous allez faire aujourd'hui pour changer les choses.

Bien à vous et merci de votre support.









vendredi 12 avril 2019

LISEZ LES ARTICLES DE CE BLOG! PARTAGEZ CEUX QUI VOUS PARLENT!



CE BLOG EXISTE CAR IL A UNE MISSION!

LA MISSION DE CE BLOG EST DANS SA LECTURE!

VOUS SEREZ CERTAINEMENT INTERPELLÉ(E) PAR UN OU PLUSIEURS DES ARTICLES DE CE BLOG!

ALORS FAITES EN PROFITER LES AUTRES EN PARTAGEANT LES ARTICLES QUI VOUS PARLENT!

MERCI!
NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS!

J'INSTALLE UN HÔTEL A INSECTES DANS MON JARDIN




Les insectes sont utiles pour démarrer un potager bio ou protéger les abeilles. 
Ils aident à lutter contre les ravageurs de manière naturelle et participent à la pollinisation des plantes. 
On vous dit comment favoriser leur présence au jardin en leur construisant 
un hôtel à insectes !



Quand on parle biodiversité, on pense souvent grande échelle : un bois, 

une ville ou la planète entière. 
En favorisant la biodiversité à l’échelle d’un petit terrain, comme un jardin 
ou un verger, on aide pourtant la pollinisation et on met en place 
une lutte biologique efficace. 

Une des possibilités est de construire un hôtel à insectes, une activité pouvant être pratiquée sans problème en famille.

Lutte biologique : construisez un hôtel à insectes contre les ravageurs au jardin bio



Peut-être avez-vous déjà songé à aider les auxiliaires de culture dans votre jardin, 

que ce soit pour démarrer un potager bio ou aider les abeilles et autres 
petits animaux, par exemple. 
Dans le jardin, les insectes auxiliaires aident à lutter contre les ravageurs 
de manière naturelle.






Favoriser ou même relâcher ces insectes, c’est faire de la lutte biologique, 


une réelle alternative aux traitements chimiques.




Outre cette action, les insectes participent à la pollinisation des plantes : 


on pousse donc à plus de biodiversité au niveau animal et au niveau végétal.




Avant de construire un hôtel insectes, il faut surtout faire en sorte que
les alentours soient favorables à tous ces insectes sans quoi la démarche
est inutile.
Vous pouvez vous procurer – ou laisser leur place à – des plantes
qui aident les abeilles domestiques et tous les autres pollinisateurs sauvages,
voire même installer une ruche, si vous vous sentez l’âme
d’un apiculteur amateur (on prendra de préférence des cours).
Mais surtout, laissez une place à la nature en arrêtant de systématiquement tout
« nettoyer », ranger, enlever.

Donner un refuge aux insectes auxiliaires


Le but principal est d’aider les insectes à survivre pendant l’hiver 

de manière à ce qu’ils agissent aux beaux jours.

Pour passer la mauvaise saison

Le principe même d’hôtel à insectes est de donner un refuge à cette
petite faune sauvage.
Toute les petites « niches » que vous allez mettre à disposition de ces insectes
(roseau, bambou, ronce, feuilles, branchage, paille, etc.) vont leur permettre
de se protéger des intempéries durant la période où ils hibernent.
C’est un moment crucial pour ces animaux qui ont bien besoin
de se voir proposer de tels abris dans un monde qui s’urbanise de plus en plus
et dans lequel ils ont de moins en moins de place.

Pour les futures générations d’insectes
Si certains insectes vont donc s’y réfugier pour se protéger,

d’autres vont ne faire qu’y passer le temps de déposer leurs oeufs. 

Le cortège de biodiversité en la matière est assez large, allant 
des abeilles sauvages qui vont venir y déposer leurs larves, 
en passant par les papillons qui vont y élaborer leur chrysalide 
et même diverses arachnides qui trouveront toujours un endroit pour disposer leur oothèque (cocon rempli d’oeufs).




Certaines espèces comme les chrysopes, ou les plus connues coccinelles,
peuvent être achetées sous forme de larves et relâchées dans votre potager 
et/ou verger pour jouer leur rôle d’auxiliaires de cultures.
Mais si vous ne souhaitez pas recommencer la démarche chaque année, installer 
un ou plusieurs hôtels à insectes en rendant également le milieu favorable à ces insectes est un passage obligé !


MERCI DE PARTAGER SUR VOS RÉSEAUX SOCIAUX!












C’est bien l’humanité qu’il faut sauver. La planète, elle, se sauvera toute seule.


C’est bien l’humanité qu’il faut sauver. La planète, elle, se sauvera toute seule.

Pourquoi ? 

Parce que ce système naturel qu’est la Terre s’ajuste aux conditions qui lui sont imposées. Dans le cas du réchauffement climatique, la planète retrouvera, dans quelques siècles, dans quelques millénaires, un équilibre. 

Simplement, il sera bien loin de celui que nous connaissons et nos descendants risquent d’y laisser des plumes : parce que les extrêmes climatiques seront plus fréquemment atteints, parce que les villes côtières seront fragilisées par la montée des océans quand elles ne disparaîtront pas, parce que l’accès aux ressources naturelles de base telles que l’eau potable et la nourriture sera nettement plus problématique voire une source de conflits, parce que les services rendus gratuitement par la nature seront réduits en raison de la perte de biodiversité.

Invoquer la sauvegarde de la planète pour inciter les gens à un mode de vie plus respectueux de l’environnement est un argument défectueux. 


Ne pas expliciter qu’en ayant dépassé les limites de notre biosphère nous mettons en péril la survie même de notre propre espèce s’avère une manière de fermer les yeux sur nos responsabilités et sur les défis qui nous attendent. C’est interposer la planète entre nous et nos actions, comme pour les masquer. En somme une façon étrange de nous extraire de notre écosystème et d’oublier que nous constituons l’une des “cibles” des changements globaux, parce que nous sommes fragiles.

 C’est bien l’humanité qu’il faut sauver. La planète, elle, se sauvera toute seule.
                                          
         Merci de partager sur vos réseaux sociaux?




LA POULE UN EXEMPLE DE PERMACULTURE

















L'image ci-dessus représente bien l'approche de la Permaculture.  
La poule en tant qu'élément dans un système a des besoins qui doivent être pris en considération mais elle fournit aussi des produits et pas seulement des œufs.  

Il faut aussi prendre en compte ses comportements comme le grattage qui peut être utile pour éliminer les mauvais insectes et fournir de l’engrais.  Enfin, en choisissant une poule pour un système il faut aussi prendre en compte ses caractéristiques, par exemple, la race plus ou moins adaptée au climat.


Cette approche est utilisée pour tous les éléments dans un système pour chercher à maximiser les liens entre eux. 

mardi 9 avril 2019

RÉGÉNÉRER LES OCÉANS - PERMACULTURE MARINE




Permaculture marine avec Brian von Herzen


Avec plus de la moitié du CO2 récupéré de l'atmosphère entrant dans les océans du monde, ils constituent de loin le plus grand puits de carbone du monde. Régénérer les océans au profit du climat et des millions de personnes qui en dépendent pour leur subsistance est donc essentiel. Dans cet épisode, le Dr Brian von Herzen, conseiller de Drawdown, se joint à nous pour une exploration de l'une des «attractions à venir» les plus passionnantes de Drawdown; permaculture marine.

Comme il est bien établi, l’accumulation de pollution, de plastique dans les océans et de surpêche a laissé les océans de la planète dans un état désastreux. En outre, les océans absorbant plus de 90% du réchauffement climatique, nous assistons non seulement à une disparition massive des récifs coralliens, mais également à une dégradation de la circulation océanique qui anéantit la chaîne alimentaire marine et crée d'énormes zones mortes. Comme Brian l'explique, le réchauffement pousse l'eau sous-marine vitale, riche en nutriments essentiels, de sorte qu'elle est de plus en plus incapable de remonter à la surface et de maintenir la vie. En conséquence, les océans deviennent rapidement de vastes déserts aquatiques. La permaculture marine est un moyen de résoudre ce problème en amenant ces eaux plus froides pour «irriguer» la surface. En réalité, il cherche à régénérer les océans en créant l'écosystème le plus productif de la planète. la forêt de varech.

Les forêts de varech constituent la base et l'habitat d'écosystèmes océaniques dynamiques. Avec un potentiel pouvant atteindre un demi-mètre par jour, le varech est également un excellent moyen de séquestrer le carbone au cours de sa croissance. Noyé en mer à une profondeur de plus d'un kilomètre, ce carbone est effectivement extrait de l'atmosphère pendant des siècles, ce qui confère au varech et à d'autres formes d'algues un potentiel énorme en tant que moyen efficace de séquestrer la capture. Associée au fait que les algues marines représentent déjà une industrie valant des milliards de dollars et à la multiplication de nouvelles applications, telles que les biocarburants et les aliments pour animaux (voir « Une vache se promène sur une plage »), la permaculture marine pourrait régénérer les océans et rendements financiers durables à long terme.

Le potentiel est donc énorme et Brian nous guide dans les efforts de la Climate Foundation, qui a commencé à explorer la permaculture marine il y a une décennie. Après deux essais réussis à Hawaii et en Indonésie, l'équipe se prépare maintenant pour prouver que la permaculture marine est viable en pleine mer. La vision de Brian est de créer des «matrices marines de permaculture», des structures flottantes composées de tubes interconnectés avec une pompe à vagues pour amener les eaux plus froides à la surface. Le varech peut ensuite se fixer aux poutres, créant ainsi les conditions de ce qui constitue en réalité une forêt océanique flottante; la ferme biologique ultime. Les faisceaux sont suspendus à une quinzaine de mètres sous la surface de l'océan, le protégeant ainsi des intempéries et des voies de navigation extrêmes. Brian envisage finalement de pouvoir redimensionner ces baies dans la mesure où elles pourront même soutenir l’économie des petits États insulaires - ou «grands États océaniques» comme il les appelle, tout en régénérant les océans et en fournissant des services écosystémiques vitaux. Nous discutons de l’élan derrière cette vision ainsi que des opportunités et des défis liés au financement et au soutien. Brian termine en rappelant l’ampleur du défi posé par le réchauffement climatique et en soulignant que les innovations technologiques, telles que la permaculture marine, offrent les «atouts» qui correspondent au consensus politique établi pour limiter le réchauffement climatique à 1,5ºC.

Brian von Herzen est un océanographe, ingénieur et entrepreneur. Une grande partie de sa carrière a été dans la Silicon Valley où il a développé des solutions techniques innovantes pour des sociétés telles que Pixar, Dolby et Microsoft. Brian est fondateur et directeur exécutif de la Climate Foundation, organisme à but non lucratif, qui œuvre pour régénérer la vie dans les océans du monde et inverser le réchauffement de la planète au cours de nos vies.

Suivez ce lien pour en savoir plus sur la permaculture marine.

COMMENT PROTÉGER L'OCÉAN EN VACANCES : 10 CONSEILS
















Et si vous appreniez à prendre soin des océans pendant vos vacances ? C’est possible!  
10 conseils de consommation ou de comportement à adopter pour minimiser vos impacts sur les ressources marines. 
Utiles en vacances au bord de la mer (ça tombe bien, les vacances scolaires commencent !) mais aussi à la maison, c’est l’occasion pour nous d’adapter ces conseils de bons sens. 


Comment protéger l’océan en vacances : 10 conseils

1 - Choisir son poisson issu de ressources durables
Comme nous vous l’avons annoncé dans un article précédent, il semblerait que ce soit la fin d’ici quelques années de la commercialisation des espèces issues de grand fonds, telles que la Lingue Bleue ou le Grenadier de Roche. Mais comment se repérer dans la jungle des appellations et des origines des poissons commercialisés ? En faisant comme pour les fruits et légume : privilégiez la proximité. Faîtes vos courses chez un poissonnier, vous pourrez lui demander des informations sur ses produits, ou au marché. Evitez l’aquaculture d’Equateur, d’Amérique du Sud ou d’Asie. N’hésitez pas à consommer votre poisson acheté entier, et non en filets surgelés. Acceptez de payer votre poisson ou vos huîtres au juste prix : vous êtes certains de rogner sur la qualité en rognant sur les coûts, et c’est toute une filière qui vit derrière. Enfin les labels tels que MSC n’indiquent pas une pêche artisanale mais informent sur l’origine et la durabilité de la méthode de pêche.

2 - Économiser l’eau
Ça coule de source, et c’est le cas de le dire ! En utilisant moins d’eau vous limitez les rejets dans l’environnement. Peu de gens le savent mais c’est particulièrement vrai en vacances dans les zones côtières : les stations de traitement des eaux ne peuvent bien souvent pas absorber la totalité des effluents d’une population multipliée par 10 ou 20 en période estivale. Minimiser sa consommation d’eau permet donc de répartir au mieux les capacités de traitement de ces stations d’épuration.

3 - Aider au nettoyage des plages
Pourquoi ne pas relever vos manches lors d’une promenade ? Les déchets plastiques n’attendent pas la fin de l’afflux touristique pour venir s’échouer. De même, la sur-fréquentation des plages en période de vacances génère une quantité impressionnante de déchets. Ne pensez pas que la mer absorbe ce qui est laissé sur la plage : elle rejettera votre mégot ou votre bouteille lors de la prochaine marée. Emportez vos emballages, bouteilles ou débris alimentaires, la bio dégradation peut prendre plusieurs mois et n’est pas une excuse !
 Enfin utilisez un cendrier portatif si vous fumez. De cette façon la plage restera propre pour votre prochaine séance de bronzage et vous vous épargnerez une future interdiction de fumer sur toute la plage ! 
N’hésitez pas à rapporter les détritus laissés par de précédents occupants, ils ne sont jamais à l’abri d’être emportés par le vent ou la mer.

3 - Ne pas offrir de corail (ou d’autre souvenirs de la mer)

Concernant le corail cela s’adresse particulièrement à ceux qui partent en direction de l’Asie, de l’Océanie, des Caraïbes ou de l’Océan Indien. On voit encore trop souvent des vendeurs « à la sauvette » proposer toute sorte de souvenirs, allant du poisson séché à suspendre au rétroviseur à la branche de corail en passant par le poisson d’aquarium vendu vivant. N’en achetez pas, c’est interdit par la loi et vous ne passerez pas la douane. De même pour les dents de requins (autres qu’en plastique !) ou les coquillages tels les Lambics, présents dans toute la zone Caraïbe et protégés car surexploités.

4 - Utiliser des ampoules à économie d’énergie (LED ou Fluocompactes)
Ici c’est le bon sens du consommateur qui entre en jeu : ces lampes ont une durée de vie plus longues, consomment jusqu’à 80% d’énergie en moins qu’une lampe à incandescence et sont recyclables. En économisant l’énergie vous limitez la quantité de gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère, et donc le phénomène de réchauffement et d’acidification de l’océan. En effet, la mer piège le CO2 présent en trop grande quantité dans l’atmosphère ce qui a pour conséquence d’acidifier les masses d’eau, ce qui empêche le développement du squelette calcaire des coraux et autres invertébrés ou mollusques.

5 - Pour plus d’informations, voir notre article :
Ne pas toucher ou ramasser ce qui est sous l’eau
Ce qui est évident pour le corail l’est aussi pour les ressources marines présentes sur nos côtes. On apprend à l’école aux enfants du littoral à ne pas déplacer un rocher sur l’estran, cette partie du littoral découverte à marée basse. 
Cette consigne est aussi applicable en plongée : de cette façon vous préservez l’habitat d’espèces utiles pour la pêche à pied et vous éviterez l’éventuelle remise en suspension de polluants piégés sous ces rochers. 
Bien sûr il en va de même pour la pêche à pied de loisir : respectez les tailles limites de capture des coquillages ainsi que les interdictions de pêche, affichées sur les plages. Elles sont là autant pour la sécurité des consommateurs que pour le respect des ressources.

6 - Pratiquer la plaisance de façon responsable
Si les piétons le long du littoral ont pu un jour s’interroger sur la présence de bouées de mouillage au large de certaines zones, il ne devrait pas en être de même pour les usagers de la mer : très importantes, celles-ci permettent d’arrimer son bateau sans mouiller l’ancre et ainsi de préserver les fonds marins. Particulièrement vrai en méditerranée où la Posidonie, une herbe marine et non une algue, est en danger d’extinction à cause des mouillages sauvages, il en est de même en Bretagne où les herbiers marins sont protégés pour leur rôle vital de nurse-rie
Les mouillages dans des zones non autorisées propagent la Caulerpe (Caulerpa Taxifolia), une espèce invasive étouffant la végétation endémique dans tout le bassin méditerranéen. Il est donc vital si vous vous offrez une escapade en mer de vous informer sur les lieux où passer la nuit.

7 - Ne pas utiliser de produits chimiques au jardin

Parce qu’une grande partie des pollutions aux pesticides retrouvées en rivière est due au jardinage des particuliers, qui utilisent trop de produits et sans précautions. Bien sûr, ce qui se retrouve en rivière finit en mer et perturbe l’équilibre écologique… Ainsi que la qualité des eaux de baignade. Alors autant se mettre tout de suite à la page et cesser d’utiliser ce désherbant chimique ou cet antilimace : bouillie bordelaise, sulfate de cuivre et purin d’ortie sont des alternatives connues depuis des siècles, et tout aussi efficaces.

8 - S’informer sur les espèces et la biodiversité marine

A l’été 2013 tout internet se moquait de cet américain qui, ayant pêché une pieuvre en Grèce, la dégusta sans se douter qu’il tenait une espèce rarissime entre ses mains. Bien sûr ce genre de mésaventure est rarissime mais nos littoraux regorgent d’espèces vulnérables : Ormeaux, Pousse-Pieds, même les fameuses coquilles Saint Jacques font l’objet d’une pêche réglementée pour préserver la ressource.
 S’informer à leur sujet permet certes de briller lors des dîners de famille mais aussi de les consommer de façon responsable et d’éduquer à leur protection. « On ne protège que ce que l’on connaît » selon un adage bien connu : connaître l’océan c’est aussi le protéger !

NOUS PROTÉGEONS AINSI NOTRE PATRIMOINE ET CELUI DE NOS DESCENDANTS

PARTAGEZ SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX! 

NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES ET LIÉS LES UNS AUX AUTRES.







lundi 8 avril 2019

ON NE POURRA PLUS REGARDER UNE BOUTEILLE PLASTIQUE DE LA MÊME FACON







































ON NE POURRA PLUS REGARDER UNE BOUTEILLE PLASTIQUE DE LA MÊME FAÇON

Je vous présente mon ennemi le plastique. Le plastique c’est en fait une grande famille de 7 catégories :

  1. Polyméthacrylate d’éthylène (PET)
  2. Polyéthylène de haute densité (PEHD ou HDPE)
  3. Polychlorure de vinyle (PVC)
  4. Polyéthylène de faible densité (PELD ou LDPE)
  5. Polypropylène (PP)
  6. Polystyrène (PS)
  7. Autres dont le polycarbonate (PC)

Leur point commun ? Leurs effets néfastes sur l’environnement et la santé.

LA PRODUCTION DE PLASTIQUE

Pour commencer, la production du plastique est un processus nécessitant l’usage de ressources naturelles non renouvelables : pétrole, gaz naturel ou charbon. Ensuite, les étapes à la fois longues et complexes de la production du plastique sont très énergivores et gourmandes en eau : distillation, cracking, polymérisation, ajout de plastifiants, ajout d’additifs et façonnage. Tout ça pour fabriquer notamment un simple sac plastique utilisé à peine 20 minutes en moyenne avant de finir à la poubelle !

LE RECYCLAGE DU PLASTIQUE

Oui mais le plastique, ça se recycle, me diras-tu !

En effet, le plastique, ça se recycle… en théorie! Parmi les sept catégories, seuls le PET et le PEHD sont recyclés en France. Il est certain que recycler, c’est mieux que de jeter, mais n’oublions pas que cela reste un processus long, coûteux et énergivore. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les sacs plastiques, entre autres, ne sont pas recyclés : cela nécessiterait plus de ressources qu’il n’en serait produites ! En outre, le plastique n’est pas recyclable à l’infini : viendra un moment où il finira à la décharge avec le reste de nos déchets… et tous les autres plastiques qui auraient pu être recyclés mais que personne n’a fait l’effort de trier. L’Europe recycle à peine 25% des plastiques qui pourraient l’être !

LA DÉCOMPOSITION DU PLASTIQUE

Une fois à la décharge, le plastique continue de polluer pendant plusieurs centaines d’années, le temps nécessaire à sa décomposition. Par exemple, un briquet met 100 ans à se décomposer, une serviette hygiénique 450 ans à se décomposer, un sac en plastique 450 et une bouteille d’eau peut mettre jusqu’à 1000 ans avant de disparaître complètement ! Malheureusement, même s’ils finissent par disparaître, les résidus toxiques de leur décomposition, eux, restent. En effet, pendant ce long processus, des particules très toxiques et non-biodégradables, issues des divers additifs ajoutés lors de la production, sont rejetées et s’infiltrent dans l’eau et les sols.


Une fois que l’on sait tout ça, on ne peut plus regarder une simple bouteille en plastique comme avant ; et je ne t’ai même pas encore parlé des impacts sanitaires du plastique !










jeudi 4 avril 2019

LA PERMACULTURE « Agir avec la nature et non contre elle »


« Agir avec la nature et non contre elle »

LA PERMACULTURE!

Elle n’est ni une technique de jardinage, ni une méthode de fainéant ou l’on ne fait rien, ni de la culture sur butte ou dans la paille. Tout ce qui a été précité sont des « techniques » ou des conséquence, et la permaculture n’est pas une technique, mais plutôt un modèle de conception.
La permaculture est basée sur l’observation de la nature, les savoirs traditionnels des anciens, et les découvertes scientifiques récentes. Elle est décomposée en deux dimensions distinctes : une plutôt philosophique, qui décrit un nouveau modèle, ou paradigme pour vivre en harmonie avec la nature et notre communauté. Et une autre dimension conceptuelle, ou la permaculture est utilisée comme un outil de conception de lieux de vie durable.
De nombreuses informations ont été harmonieusement compilées et organisées de manière a créer une méthode simple, basée sur des éthiques, ayant pour but de replacer l’homme au sein d’un système durable et soutenable pour notre planète.
La permaculture traite donc de nombreux sujets : habitat, agriculture, communautés, eau...
Les précurseurs en matière de permaculture sont : P A Yeomans (water for every farm), Masanobu Fukuoka ( révolution d’un brin de paille), J Smith Russell ( tree crops ) et bien d’autres…
Nous focalisons beaucoup sur la gestion efficace de l’énergie qui nous est allouée principalement par nul autre que le soleil et le cœur de notre action est le design.
Le design permet de planifier les stratégies et les méthodes de permaculture qui nous permettront de remplir nos objectifs : auto-suffisance sur un lieu, création d’un jardin, d’une entreprise durable, gestion d’une communauté ou d’une bio-région…Tout en respectant les éthiques et principes de la permaculture.
Vous y trouverez sûrement, à certains moments, des techniques que vous connaissez déjà, que votre grand-père utilisait au jardin, ou que vous pratiquez en tant que éco-constructeur ou agriculteur en bio-dynamie bref…. Le génie qu’ont eu Bill Mollison et David Holmgren, les créateurs de la permaculture a été de fédérer des milliers d’informations en un système de planification global et cohérent.
L’autre point important concernant la permaculture, c’est que le fait d’observer les systèmes naturels locaux  et de s’en inspirer fait que cette méthode sera adaptable partout, mais par incidence, les techniques employées seront différentes selon de nombreux facteurs : climat, micro-climat, sol, contexte socio-culturel, etc…
Cette science est en perpétuel mouvement, elle est très inclusive et nous sommes constamment à l’affût de nouvelles stratégies, techniques et méthodes pour être encore plus efficace. Au niveau étymologique, sachez qu’à l’origine permaculture est issue de deux contractions anglaises :

Étymologie de la permaculture :

permanent-agriculture et permanent-culture









mardi 2 avril 2019

DÉCOUVRIR NOTRE MAGICIEN INTÉRIEUR CRÉONS LE NOUVEAU MONDE


Plume de Poète et ses Défis



DÉCOUVRIR NOTRE MAGICIEN INTÉRIEUR

Le pouvoir de la Source. Nous sommes le monde que nous cocréons et si nous utilisons nos énergies pour lutter contre le monde « dévié » et les manipulateurs nous cocréons un monde où tout cela persiste et existe.

La solution qui nous à été octroyée au niveau individuel et collectif est le pardon, c’est-à-dire l’oubli des offenses, les nettoyages des vieux schémas du passé que ce soit au niveau collectif ou individuel. Tant que nous maintenons vivantes les mémoires du passé celles-ci interférent en notre présent.

Tout ce qui entre en nous nous in-forme

Tant que nous regardons des documentaires et autres reportages sur la dernière guerre nous restons dans l’illusion et le conflit car si cela « honore » ceux et celles qui ont disparu cela maintient aussi la haine contre ceux qui les ont fait disparaître. Et cela maintient une illusion caduque puisque la plupart de ces personnes (des deux camps) se sont réincarnés pour vivre « autre chose ».

Tant que nous nourrissons d’images de meurtres, violences horreurs nous nourrissons ces égrégores car notre Attention portée sur l’image est génératrice d’énergie nourricière et pendant que nous visualisons ces images notre Attention ne peut créer autre chose que ce sur quoi elle est portée.

Chaque film et image que nous assimilons s’actualise dans notre royaume interne. Le monde de l’image appartient au plan astral et peut être à la fois révélateur de merveilles ou nous attirer dans des zones sombres. On ne regarde jamais un film sans que le scénario de celui-ci ne provoque une résonance intérieure qui s’actualisera dans notre réalité extérieure un jour ou l’autre..
Tout comme la nourriture physique nourrit notre corps dense ; la nourriture émotionnelle nourrit notre corps astral et la nourriture mentale sustente notre corps mental. Tout ce qui entre en nous, s’assimile en notre Royaume

Le meilleur moyen de ne pas nourrir les forces manipulatrices est de boycotter leur présence,
de ne leur donner aucune attention, de ne pas lutter contre elles (car cela revient à reconnaître leur existence et donc à les renforcer) tout le secret est dans la Force d’Attention (Amour) : dés que nous portons notre Attention sur un concept nous le reconnaissons comme existant et lui donnons vie.

La contre publicité médiatique
Les forces de l’Ombre utilisent ce stratagème pour nous inciter à nourrir leurs conceptions. Ils utilisent ce qu’on appelle la « contre publicité ». C’est-à-dire qu’au lieu de vanter un des produits qu’ils désirent commercialiser ils se débrouillent pour écrire un article qui va décrire tous les dangers et inconvénients de ce produit et ainsi la « multitude » commence à parler du produit et cela en fait la pub. 


Le meilleur moyen de vendre un livre c’est d’écrire un article qui le critique, le meilleur moyen de vendre un médicament c’est de parler d’une épidémie. Le meilleur moyen de nourrir les forces de l’ombre c’est de « monter une cabale contre elles »…

Certes il ne s’agit pas de jouer les autruches et de ne rien voir. Bien au contraire il faut ouvrir les yeux de la conscience et du cœur et se poser la question « qu’est ce que cela m’apporte de répandre telle ou telle information, ai-je vraiment envie de vivre cela ?».

Informer n’est pas lutter


Dénoncer une chose n’a pour but que d’éveiller la vigilance. Lutter contre cette chose (qui fait partie de l’illusion) c’est donner vie à celle-ci. Le meilleur moyen de propager des épidémies comme le Sida est d’en parler dans tous les journaux télévisés. Certains diront peut être « oui mais si on n’en parle pas, les gens ne seront pas informés » si informer est nécessaire, en parler trop ne fait que cocréer un monde où cette chose existera et où grâce à des médicaments ou remèdes (si les laboratoires ont réussi à créer ceux-ci) lutteront contre cette maladie et la maintiendront à l’écart. L’idée générale sera donc que la maladie existe toujours mais qu’on peut la maintenir éloignée. C’est-à-dire que cela ne peut que maintenir un climat de peur, d’angoisse (et si la barrière protectrice cédait ?)

Tous les maux et maladies possibles sont pré enregistrés en tant que concepts « possibles » en cette matrice d’illusion et les « tentateurs » ne sont ni plus ni moins les forces de l’ombre qui nous tentent ; nous séduisent et nous incitent à actualiser ces potentiels.

 A ce titre tous les médias font partie des tentateurs dés qu’ils diffusent des pubs vantant ceci ou cela : le produit miracle qui guérit ceci. Le test préventif qui nous rassure en nous indiquant qu’on n’est pas contaminé démontre aussi qu’on croit pouvoir l’être. Alors que faire ???

La réponse est celle que pourrait faire un millionnaire face à un homme pauvre qui lui demande le secret de sa richesse, voici ce qu’il pourrait dire » » toute l’énergie que tu as utilisé pour lutter contre ta pauvreté et te prouver que tu étais incapable d’être riche je l’ai utilisé pour devenir riche ».

On pourrait classifier l’humanité actuelle en trois catégories :

-1 Ceux qui ne croyant à rien vivent l’illusion comme unique réalité. Leur conscience n’est ouverte à aucune autre possibilité. Ils croient en un Dieu de fatalité qui de temps en temps s’avère plus clément pour ceux qu’il à choisi (phase 1)

- 2 Ceux qui ayant ouvert leur conscience à d’autres réalités multidimensionnelles attendent le moment de l’ascension pour s’évader de cette terre de souffrance ( phase 2)

- 3 Ceux qui ayant reconnecté leur conscience à leur Magicien Céleste intérieur utilisent leur pouvoir créateur pour faire ici bas la démonstration de la Grandeur du Divin et ainsi révéler le Cadeau que l’Ultime à offert à chacune de ses créatures.( Phase 3)

Nous sommes tous passés par les trois « phases » cependant certains sont restés dans la 1° et ne veulent pas entendre les croyances et visions de ceux qui se sont ouverts à la 2°. Ces deux catégories restent dans l’illusion. Les premiers sont si bien ancrés sur terre qu’ils ne peuvent en décoller, les seconds sont si attirés par les autres mondes dimensionnels qu’ils n’ont plus les pieds sur terre et lorsque la réalité les rejoint ils se sentent perdus et étrangers à ce monde.

Le « jeu » se compose de ces trois phases : il est un temps pour ignorer et rester « pion » manipulé par les règles du jeu, il est un temps pour découvrir les règles du jeu et percevoir d’autres réalités et un temps pour utiliser le Pouvoir créateur du Magicien que l’on est afin de créer un autre « jeu » et une autre réalité dans le Monde unitaire.

Nous sommes dans cette 3° phase : celle de l’intégration et tous ceux qui se trouvent encore dans les phases 1 et 2 souffrent d’une façon ou d’une autre. Les premiers ont peur de l’avenir monétaire, politique, environnemental etc. les seconds attendent en vain les sauveurs et les vaisseaux spatiaux qui les feraient sortir de cet enfer.

Nous sommes venus en ce monde pour expérimenter la dualité et y retrouver l’Unité originelle et notre pouvoir créateur : c’est ici et maintenant, en ce monde que nous pouvons actualiser le nouveau monde. S’échapper de celui-ci reviendrait à faire croire à l’inutilité de celui-ci (comme s’il n’avait servi à rien) alors qu’il n’en est pas ainsi. Ce monde d’ombre nous à aidé à découvrir la Lumière que nous étions et lorsque cette Lumière est activée en nous elle efface l’ombre qui n’était qu’illusion (et non une réalité contre laquelle on devait se battre)

Le principe de la Loi d’attraction ( comme je l’ai décrit en d’autres articles) fait partie de cette actualisation cependant il ne s’agit pas de vouloir créer un monde meilleur à partir de nos conceptions humaines ( petit je) et créer un super monde parsemé de super héros justiciers mais bel et bien de créer un monde d’amour unitaire, de paix véritable et durable, de coopération harmonieuse et tout notre challenge se résume ainsi : malgré le fait que l’on soit au milieu d’un tourbillon d’énergies chaotique chacun de nous se doit de rester dans l’œil du Cyclone et en tant que Magicien cocréer cette Nouvelle réalité, en se laissant inspirer par le Soi qui intervient alors en tant que Grâce perpétuelle.

Créons le nouveau monde !

Nous ne pouvons pas changer le monde extérieur par de belles paroles ou des actions humanitaires (même si celles-ci font partie du cheminement) mais en cocréant depuis notre Magistère interne une autre réalité que l’on vit tout d’abord au niveau personnel. Ainsi celui qui démontre par ses faits et actes sa Déité, glorifie le Créateur et le processus est simple : il suffit de faire de notre existence ici maintenant un Paradis, de démontrer ainsi que ceux et celles qui se confient en «
"la source"  » vivent une existence pacifique, agréable, simple mais aimante et heureuse. Ainsi "la source" satisfait se repose en chacun de nous. Le challenge est réussi, la matrice est élevée sur un autre plan.

Les Etres vivants dans l’Unité vibrale vivent à l’intérieur des planètes comme c’est le cas sur notre Terre. L’humanité extérieure soumise aux climats atmosphériques et autres paramètres est celle qui avec le temps doit accéder aux mondes intérieurs. Un jour viendra où il n’y aura plus personne sur terre mais où les humains vivront dans l’Intra terre vibral dimensionnelle comme vivent les peuples ascensionnés au sein de Gaia ( cités intra terrestres).

Le temps est venu pour chacun d’entre nous de vivre « sur Terre » comme vivent les intra terrestres dans la Terre intérieure c’est-à-dire accepter la dualité et les remous extérieurs (illusion) tout en demeurant dans l’Unité vibrale avec notre Magicien intérieur qui est une expression parfaite du Dieu Source Androgyne..

Ainsi l’ascension se fait naturellement : nous pouvons vivre en ce monde sans être de celui-ci mais par notre Présence reconnue nous pouvons « montrer le Nouveau monde », anticiper la Vie dans les mondes unifiés.
cb@

LE JOUR OU L'ABEILLE DISPARAÎTRA, L'HOMME N'AURA PLUS QUE QUATRE ANS A VIVRE


Résultat de recherche d'images pour "gif  animes jolies abeilles"




LE JOUR OU L'ABEILLE DISPARAÎTRA, L'HOMME N'AURA PLUS QUE QUATRE ANS A VIVRE.

Maya est une abeille pleine de courage, 
Tous les jours Maya sors de la ruche pour notre bien à tous!
Savez-vous que sans nous, les abeilles vous ne pourriez survivre?

Pour récolter le nectar, une abeille doit parcourir plusieurs kilomètres, elle peut aller jusqu'à 4 kilomètres de la ruche et y revenir.

Nous pouvons butiner jusqu'à, 225 000 fleurs dans une journée.
Nous connaissons bien les fleurs et tous les jours nous découvrons qu'il y a en qui disparaissent parce que vous les humains vous ne respectez par l'environnement.

Je m'appelle Maya et je rêve de travailler dans les champs remplis de fleurs aux mille couleurs.
On ne trouve même plus de trèfles à quatre feuilles, nous butinons aussi les fleurs des trèfles, elles ont un parfum exquis.

Je suis obligée de faire beaucoup de kilomètres pour butiner et ramener le pollen à la ruche, de plus en plus de kilomètres et je suis toujours plus loin de chez moi.
Je voudrais pouvoir respirer les parfums des fleurs juste à la porte de chez moi.
Je voudrais que la nature sente bon et j'en ai marre de respirer les pesticides qui font mourir mes copines.

Si nous disparaissons :

Lisez cet article:


Les abeilles "assurent la pollinisation et donc la survie de plus de 75% de nos cultures", a expliqué Paul Fert, apiculteur chez Wendy Bouchard, sur Europe 1. Leur survie représente donc un enjeu capital.

LE TOUR DE LA QUESTION:  

Pesticides, maladies, espèces invasives... 
les abeilles sont en danger !

 Et il faut s'en inquiéter. "L'abeille est une gardienne de notre avenir ou une sentinelle de notre environnement. Elle est un petit peu le témoin d'un dérèglement qui se passe depuis un certain nombre d'années", a expliqué Paul Fert, apiculteur, vendredi au micro de Wendy Bouchard sur Europe 1.
"Une bouchée sur trois dépend entièrement" du travail des abeilles. Sans le travail des abeilles, notre alimentation serait menacée. "Elles assurent la pollinisation et donc la survie de plus de 75% de nos cultures. Cela correspond à un tiers de notre alimentation. Une bouchée sur trois de ce que nous mangeons dépend entièrement de ce travail de pollinisation, assuré par les abeilles", affirme Paul Fert. D'après les chiffres de l'ONU, sur les 100 espèces végétales qui fournissent 90% de la nourriture dans le monde, 70% dépendent des abeilles pour leur pollinisation.
"La disparition des abeilles serait une catastrophe absolue",Einstein a bien dit et écrit la fameuse phrase : 'Le jour où l'abeille disparaîtra, l'homme n'aura plus que quatre années à vivre.'
Merci à vous tous de partager cet article, de faire prendre conscience à tous que notre survie dépend de nous les abeilles et de vous les humains si vous respectez l'environnement.
VOUS VOYEZ QUE NOUS SOMMES TOUS RELIÉS, CHACUN DE NOS ACTES A UNE RÉPERCUSSION SUR TOUT L'UNIVERS.
cb@


Résultat de recherche d'images pour "abeilles et notre survie"